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Par ockren le 1 Décembre 2007 à 09:30
DECEMBRE 1997 / DECEMBRE 2007 : DESARMONS LA BOURGEOISIE !
Progressivement et rapidement ATTAC a élargi sa sphère d'intervention au-delà des questions de fiscalité internationale. Une étape qualitativement importante de transformation de la conception de son objet statutaire s'est réalisée à partir de 2003 .
1) 1997 : DESARMER LES MARCHES
Il y a 10 ans Ignacio RAMONET publiait dans Le Monde Diplomatique son fameux texte « Désarmer les marchés ». De l'adhésion à ce texte est né l'association ATTAC.
http://www.france.attac.org/spip.php?article644
http://www.monde-diplomatique.fr/1997/12/RAMONET/9665.html<o:p> </o:p>
2) 2007 : DESARMER LA BOURGEOISIE ET LE CAPITAL
- EDUC POP SUR LES DEBATS THEORIQUES ET STRATEGIQUES
Le texte fondateur d'Igniaco RAMONET est bref. Il mérite des lectures complémentaires. Parmi les premiers ouvrages discutant des bases programmatiques de l'association ATTAC il faut mentionner tout particulièrement « Tobin or not Tobin : une taxe internationale sur le capital » par François CHESNAIS.
http://oeil.electrique.free.fr/chronique.php?numero=8&articleid=75&rubrique=bouquinerie
Sur la taxe et Tobin :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Taxe_Tobin
A défaut la lecture du débat entre Gianni CARROZZA et François CHESNAIS est me semble-t-il très instructif. Gianni CARROZZA critique des insuffisances de la taxe sur les transactions monétaires internationales préconisée par James Tobin depuis 1978 et les perspectives d'un mouvement en faisant la promotion.
http://www.laquestionsociale.org/points%20de%20vue/PDV_debat_avec_francois.pdf
- GRANDES MANOEUVRES AUTOUR DE LA TAXE TOBIN
Pour connaître la portée offensive ou non de la ta taxe Tobin il faut connaître son contenu réel au moment ou elle est proposée au vote. Cet examen est à la racine du refus de <st1:PersonName productid="la LCR" w:st="on">la LCR</st1:PersonName> de soutenir une « taxe Tobin de droite » contrairement à Alain Lipietz pour qui la taxe à voter demeurait efficace contre la spéculation financière.<o:p>
</o:p>- L'accusation d'Alain LIPIETZ : Taxe de Tobin, le coup de poignard dans le dos!
L'enjeu est clair depuis des années. Non pas abattre le capitalisme, mais l'une de ses tumeurs les plus criantes : la spéculation financière.
http://www.lesverts-lorraine.org/articles/vl6tax.htm- La réponse de la LCR
Le problème n'est pas qu'une partie de la droite opte pour la taxe Tobin et la rende ainsi majoritaire. Le problème est que, dans le cours des négociations consensuelles, ce soit la logique libérale et conservatrice qui fixe le cadre du débat et le sens de la taxe.Dossier sur :
http://www.lcr-rouge.org/archives/012700/pleinfeu.htmlPour ATTAC : "Les attendus de la résolution ne correspondent pas à sa vision de la globalisation"
A propos du scrutin sur la résolution Tobin au Parlement européen
http://www.france.attac.org/article.php3?id_article=612
3) SUR "LA FISCALITE INTERNATIONALE" AUJOURD'HUI
Fiscalité internationale pour des ressources publiques
http://www.france.attac.org/article.php3?id_article=3583
A économie mondialisée, fiscalité globalisée
http://www.france.attac.org/spip.php?article2901Le rapport Landau (auquel Attac-France a largment contribué )
http://www.france.attac.org/IMG/pdf/Rapport_Landau_fr.pdfEn Anglais, l'étude réalisée par nos amis Bruno Jetin et Lieven Denys est, à ce jour, la somme la plus complète sur le sujet.
http://www2.weed-online.org/uploads/CTT_Ready_for_Implementation.pdfvotre commentaire
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Par ockren le 11 Septembre 2007 à 15:05
LARZAC 2003 R DELARUE (12 ans) contre José Bové (en fer)
ESR (1), alterdéveloppement et mouvement altermondialiste.
http://www.local.attac.org/35/ESR-1-alterdeveloppement-et
stage universitaires/syndicalistes - ISSTO Rennes Nov. 2005
Il ressort une contradiction forte entre la montée des exigences de DD et la très très faible prise en considération de ces besoins par les entreprises et la gouvernance globale. Pour peser il nous faut auparavant résoudre une difficulté quant aux divergences de priorités d'action des acteurs " contestataires " . Schématiquement, les syndicats prennent en compte les rapports sociaux et agissent contre l'exploitation de la force de travail alors que les associations, elles, luttent contre les lobbies et la technocratie, contre l'exploitation abusive de la nature tant du côté des prélèvements (ponction des matières fossiles...) que du côté des rejets (pollution). Cette division voire cette contradiction dans l'action tend à s'estomper. En effet, une évolution positive se construit via des partenariats admettant néanmoins des divergences d'analyses qui par le débat sont en passe de résorbtion . Cette évolution positive débouche sur des convergences et des actions communes en faveur du DD. De l'autre côté, la gouvernance globale comme les entreprises multinationales (EMN) sont prioritairement attachées à résoudre l'actuelle crise de rentabilité du capital ; le capital ne peut donc que très marginalement répondre aux urgences d'un alter-développement respectueux des besoins du présent et de l'avenir tant dans le domaine social qu'environnemental. Transformer le monde pour qu'il soit vivable pour tous dépasse largement leur objet. Il revient donc aux syndicats et ONG d'agir ensemble ou en complémentarité tant dans l'entreprise (I) comme producteur et consommateur que dans la société notamment via les services publics (II) et là comme agent du service public et comme citoyen et usagers.
1 - LES CONQUETES EN MATIERE de RSE SONT TRES LIMITEES.
Face à la pression externe (associative) ou interne (syndicale) certaines EMN intègrent quelques éléments d'amélioration du respect de la nature et de la biodiversité mais cela, on l'a vu dans le stage, ne va pas bien loin. Bien souvent les " chartes de DD " ne sont que du marketing. Le volet social est aussi des plus restreint . Ici ou là, la surexploitation ou le travail des enfants est finalement interdit ; ce qui est positif... et immédiatement mis à profit par les firmes qui se revalorise en vue de la concurrence (ex : NIKE) .
La conscience de ces limites intrinsèques aux sociétés privées n'invite évidemment pas à l'abandon du combat " DD " sur ses deux aspects le social et l'environnemental. Il s'agit plutôt de le poursuivre en lien avec celui mené dans et par les services publics et ce en articulant acteurs internes - les syndicats - et externes : les associations et citoyens.
2 - LE DEVELOPPEMENT DES SERVICES PUBLICS COMME PERSPECTIVE.
Les entreprises privées, y compris les coopératives (mais moindrement et différemment), produisent des marchandises et non des " richesses " sans autre précision . Le secteur public et les services publics ont eux vocation à produire des services et des biens publics non marchands. Cela suppose pour eux de se dégager d'une triple logique - financière, marchande et industrielle ou disons " industrialiste " . La logique moindrement industrielle s'attache à l'emploi de technologies propres et sobres. Se défaire d'une logique marchande suppose de relativiser les critères de rentabilité et la valorisation de l'environnement des sociétés transnationales. Le secteur public doit produire des valeurs d'usage et non des valeurs d'échange. C'est dans sa nature propre. Il permet le choix politique et l'intervention démocratique des citoyens et usagers, autre chose donc que la gouvernance et le marché.
Il ne s'agit que de la conclusion de fin de stage universitaires/syndicalistes - ISSTO Rennes Nov. 2005 Christian DELARUE snadgi-cgt35 et ATTAC
Christian DELARUE
Membre du CA d'ATTAC Rennes Groupe "services publics"
1 - ESR : Entreprise socialement responsable ou RSE : Responsabilité sociale des entreprises
2 - Développement durable : « Un développement qui s'efforce de répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs ». Cette célèbre définition du développement durable proposée par Gro Harlem Bruntland en 1987 dans le rapport « Our common future » de la Commission Mondiale de l'environnement fait toujours référence. En identifiant simultanément trois dimensions du développement durable -dimensions économique, social et environnementale-
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Par ockren le 17 Juillet 2007 à 23:44
Sortir la production de la mise sous tutelle du capital :
POUR UNE MAÎTRISE CITOYENNE DE LA PRODUCTION !
La maîtrise de la production de biens et service par le plus grand nombre est-elle possible ? Est-ce une utopie? En fait commençons par voir que l'on ne pourra pas éternellement continuer à faire n'importe quoi n'importe comment. Et dire alors qu'il faut consommer autrement ne suffit pas . Ce n'est qu'un premier pas bien insuffisant . Cela indique en fait un abandon dramatique de la maîtrise de la production aux seules "forces du marché", donc au capital . Pareillement dire qu'une activité économique de production de biens ou de services est productrice de richesses sans autre précisions ne suffit pas plus. Car il y a trop de dégâts dans cette richesse et sur plusieurs plans.
I - LES DEGATS DE LA PRODUCTION DE "RICHESSES".
- PRODUIRE AUTREMENT ET AUTRE CHOSE !
Pour ce faire, il ne s'agit pas de mettre en avant un point de vue moral mais une réorientation politique de la production . La production est une question sociale et politique qui devrait normalement être intégré au champ de l'expression démocratique . Pour l'heure c'est au niveau de la consommation donc quand le mal est fait, une fois la production réalisée et les appareils d'influence publicitaire mis en branle que le choix ou le non choix peut s'opérer. C'est là une démocratie rabougrie! C'est donc politiquement et démocratiquement qu'il faut réduire massivement les nombreuses productions nuisibles aux humains ou à la nature (matières polluantes) ainsi que celles socialement inutiles sans parler des productions de biens rapidement frappés d'obsolescence, ou ceux difficiles à entretenir ou réparer.
- QUI DECIDE DU CARACTERE NUISIBLE DE LA PRODUCTION?
Sous le capitalisme une minorité de possédants (les moyens de productions), autrement dit le petit comme le grand patronat, décide de produire n'importe quoi y compris ce qui a de plus destructeur pour les humains, la nature et la planète. Or ce devrait être l'ensemble des travailleurs-producteurs du groupe et même au-delà (pour éviter les effets pervers de la défense de l'entreprise ) tous les résidents-citoyens de décider des grands choix de productions des entreprises publiques dans la cadre d'une planification démocratique. Les techniciens et experts ne devraient se préoccuper que du détail du processus de production pas des grands choix.
Lire "Une autre économie orientée vers le développement humain "
http://rennes-info.org/Une-autre-economie-orientee-vers.html
Il importe aussi et surtout de distinguer le cadre général de la production. Il s'agit de distinguer alors la production marchande de la production non marchande, la production de valeur d'échange de la production de valeur d'usage.
II - DISTINCTION FONDAMENTALE : LA PRODUCTION MARCHANDE ET NON MARCHANDE.
La production de richesses se subdivise en production marchande et en production non marchande.
- LA PRODUCTION MARCHANDE va produire des valeurs d'usage mais pas seulement et surtout pas dans ce but. . La production marchande, pour l'essentiel des entreprises privées, va surtout produire des valeurs d'échange, autrement dit des biens et services pour le marché. Il lui faut une demande solvable, un client relativement riche même pour des bas prix .
- LA PRODUCTION NON MARCHANDE est le fait des services publics et de certaines entreprises publiques assimilées, celles subventionnées pour un certain cahier des charges précis et une politique tarifaire claire . Ils vont eux produire des valeurs d'usage, des biens et services qui seront utiles à la population et qui ne seront pas nuisible à l'environnement. Ils produisent pour des usagers à égalité de prestation partout sur le territoire et sans considération de leur richesse patrimoniale mais dans un but de redistribution des richesses et dans le respect du développement durable .La décision peut être fortement bureaucratique ou très démocratique mais ce n'est en tout cas pas la "main invisible " du marché qui normalement "décide" et derrière elle les propriétaires privés des moyens de productions autrement dit le patronat petit ou grand.
- LE CADRE INDIQUE LE BUT DU TRAVAIL. S'agit-il de réaliser avant tout un profit ou s'agit-il avant tout de satisfaire un besoin ? S'agit-il de vendre via des prix (de marché) ou s'agit-il de décider d'une politique tarifaire avec une distribution gratuite ou peu chère à des fins sociales et/ou écologiques et pour les mêms raisons des tarifs élevés pour décourager la consommation.
CONCLUSION : La maitrise de la production utile, non marchande, réalisée pour un alterdéveloppement et dans le cadre d'une alterdémocratie n'est pas une utopie, elle la perspective de l'autre monde que nous voulons. Elle passe par la défense et l'extension des services publics nationaux et de la réappropriation collective des moyens de production : municipalisation, régionalisation nationalisation (pour la planification), nationalisation pour l'égalité sur tout le territoire et évidemment démocratisation.Enclencher une démocratisation sur fond de logique marchande maintenue est une duperie mais cela constitue un projet réalisable si le capital a été exproprié. La démocratisation ne peut s'accompagner qu'avec un mouvement introduisant des pratiques et des règles de très bonnes conditions de travail. Il se trouve que les services et entreprises publiques peuvent disposer d'un statut du travail contenant de meilleures garanties que le code du travail pour les travailleurs du privé. Ce n'est pas rien si l'on veut réduire l'exploitation du travail en vue de l'abolition du salariat !
Christian DELARUE
sur les deux conceptions de la démocratie restreinte et de l'alterdémocratie
http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=47228
Jacques GOUVERNEUR
http://hussonet.free.fr/jgfond5.pdfQUELLE RELOCALISATION DE L'ECONOMIE ?
http://www.local.attac.org/35/Quelle-relocalisation-de-l
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Par ockren le 17 Juillet 2007 à 00:55
DEUX CONCEPTIONS DE "L'AUTRE DEMOCRATIE"
De l'alterdémocratie "de complément" à l'alterdémocratie "globale" et alternative
Cette contribution au Manifeste d'ATTAC vise à insérer le souci de généralisation des mécanismes démocratiques dans une compréhension des différents niveaux de vie démocratique.
I - LES SYSTEMES DEMOCRATIQUES RESTREINTS
Il s'agit d'un essai sur des repères qui sont autant de points de ruptures pour une vie démocratique qualitativement supérieure, pour préciser encore ce qu'est « l'autre démocratie » (2). Il ne s'agit donc pas de faire œuvre technique descriptive et comparative des systèmes démocratiques existants.
A) Les deux niveaux de démocratie restreinte.
Il y a deux niveaux de démocratie restreinte : une vraiment très rabougrie, une autre moins restreinte mais toujours très limitée.
La « démocratie très rabougrie » se nomme "démocratie représentative" tel que mis en place dans la plupart des régimes dit démocratiques.
La « démocratie restreinte » s'apparente elle à la démocratie représentative avec une "alterdémocratie" complémentaire, sorte de béquille de la démocratie représentative. L'ensemble forme encore une démocratie restreinte.
B) Les deux conceptions de l'alterdémocratie.
1 - La première conception : l'alterdémocratie de complément.
Quelle est cette démocratie complémentaire ou différente de la démocratie de base ? Voici ce que dit La Revue du MAU/SS (1) de l'alterdémocratie (de complément) : "Le précédent numéro de La Revue du MAUSS dressait le constat de l'existence d'un malaise, à tout le moins, dans la démocratie. Le doute sur ses potentialités et sur sa réalité s'étend chaque jour un peu plus. Mais jusqu'où convient-il de désespérer ? La seule chose sûre est que, dans leur état actuel, les mécanismes de la démocratie représentative ne peuvent plus se suffire à eux-mêmes et qu'il faut revigorer l'esprit même de la démocratie. Ce sont les modalités, les potentialités et les limites de ces alternatives à la démocratie représentative - démocratie participative, associationniste ou directe, forums plus ou moins hybrides, organisations ou coopérations en réseau, etc. -, bref, de tout ce qui relève de l'alterdémocratie, que le présent numéro se propose d'examiner et d'évaluer, avec une réouverture symétrique du débat sur l'alteréconomie ».
2 - La seconde conception : l'alterdémocratie globale et alternative.
Ici l'alterdémocratie est conçue comme un ensemble totalement différent des systèmes démocratiques existants qui sont à "démocratie restreinte". L'alterdémocratie est une visée et non pas simplement la béquille de la démocratie représentative. La conception réellement alter de la démocratie ne saurait s'accommoder de l'alterdémocratie complément d'âme de la démocratie représentative existante.
II - RUPTURE FRANCHE : L'ALTERDEMOCRATIE POUR UN ALTERDEVELOPPEMENT.
A) Rupture franche quand au champ d'application
L'alterdémocratie systémique fonctionne sur un champ élargi et embrasse le champ économique et donc provoque la décision citoyenne au-delà ce que l'on nomme ordinairement le champ politique. Elle relève de l'altermondialisme (un autre monde) et non de l'altermondialisation (les processus vers un monde plus ou moins meilleur).
Autrement dit, l'alterdémocratie globale suppose un autre contexte qui n'est pas seulement une autre répartition des richesses mais aussi un alterdéveloppement.
B) Rupture franche sur la dynamique systémique : un autre mode de production et de consommation.
*L'alterdémocratie suppose une économie généralisée de la valeur d'usage.*
Une telle alter-économie implique donc l'appropriation publique, la généralisation des services public et la réduction de la sphère marchande, autrement dit de l'économie de la valeur d'échange, laquelle économie masque une économie de profit du capital alors qu'il s'agit de favoriser une économie de satisfaction des besoins. L'alterdémocratie n'est donc pas seulement afférente à l'économie sociale et solidaire, complément d'âme de l'économie capitaliste (3).
*L'alterdémocratie suppose la mise en place d'une planification démocratique de la production.*
Il s'agit de réaliser un réel "développement durable" qui combine une autre production et une autre consommation. L'alterdéveloppement nomme un développement équilibré au plan écologique, territorial et un développement socialement postcapitaliste - écosocialiste (4)- donc réduisant fortement les mécanismes liés à l'exploitation de la force de travail ainsi que toutes les autres formes de domination et d'oppression que le capitalisme a "trouvé" en chemin et a maintenu voire amplifié.
Christian DELARUE
Com.Démocratie ATTAC France
Note : (1) : _http://www.yodawork.com/websp/SW2_consult_ref ?F_refid=26471&F_ent_diff_id=1_ /www.yodawork.com/websp/SW2_consult_ref ?F_refid=26471&F_ent_diff_id=1 /www.yodawork.com/websp/SW2_consult_ref?F_refid=26471&F_ent_diff_id=1>>
(2 ) [ATTAC 35] Introduction : aller vers une autre démocratie, citoyenne et populaire http://www.local.attac.org/35/Introduction-ALLER-VERS-UNE-AUTRE [ATTAC 35] Alterdémocratie http://www.local.attac.org/35/-Alterdemocratie-
(3) L'altermondialisme n'est pas soluble dans le néosolidarisme - Par Christian Delarue http://www.pag69.org/article.php3 ?id_article=352
(4) Sur l écosocialisme lire Mickaël LOWY Essai personnel sur Bellaciao : Un postcapitalisme écosocialiste
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Par ockren le 10 Juillet 2007 à 22:56
Université d'été d' ATTAC 2007 TOULOUSE
Manifeste d' ATTAC :
Contre le septième et dernier pilier du néolibéralisme : "La diversité culturelle contre le formatage des esprits"
LA CRISE CULTURELLE DU CAPITALISME, L'HETEROPHOBIE DIFFUSE, LE RACISME... <http: www.bellaciao.org="" fr="" article.php3?id_article="50629"></http:>
mardi 10 juillet-22:41http://www.bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=50629
LA PLURALITE ET L'INTERPENETRATION DES CULTUREShttp://www.bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=50628
<http: www.bellaciao.org="" fr="" article.php3?id_article="50628"></http:>
mardi 10 juillet-22:21
de : Christian DELARUE
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