• JO : NE PAS CEDER AU CHANTAGE POLITICO-RELIGIEUX !

    par Amitié entre les peuples

    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php?article195 
     

    Les Jeux Olympiques sont le comble de l'hypocrisie puisque cette institution fait constamment le contraire de ce qu'elle promeut. Les prochains Jeux risquent de monter d'un cran à propos du voile islamique la discordance entre les réglements sportifs de la Charte Olympique et la pratique réelle. Déjà lors des Jeux d'Atlanta des sportives voilées appartenant aux délégations d'Iran, d'Egypte avaient obtenu l'autorisation d'arborer ce signe politico-religieux. Ce qui est scandaleux ! Une véritable provocation ! En effet, si les sites des Jeux sont un espace de paix et de neutralité politique et religieuse alors ces symboles à caractère religieux mais aussi politique devraient y être strictement interdit.

    Apparemment à lire Annie Sugier les faux-culs et les aveugles sont légions dans les instances sportives. Voici les réponses fournies ! A vomir !

    Les réponses sont embarrassées, hypocrites voire fumeuses. Du genre « Le code du sport fixe ce que porte le joueur, non ce qu'il ne doit pas arborer, à l'exception de bijoux ou d'accessoires dangereux » (dixit la Fédération française de football, la FIFA ou la fédération internationale de volleyball) ou du genre ergoteur qui cite un cas particulier « il ne s'agit pas d'un foulard islamique »...En résumé « ce n'est pas que c'est autorisé, c'est que ce n'est pas interdit » ( dixit l'entraîneur d'une équipe féminine !).

    Quant à la porte parole du CIO, elle précise d'abord que seule une iranienne a fait une demande de port de voile dans les enceintes olympiques. Et d'ajouter, pour expliquer le profil bas adopté par le CIO dans ces affaires : « nous avons estimé que les motivations de cette iranienne n'avaient rien à voir avec de la propagande ». Naturellement cette réponse fait l'impasse sur les termes précis de la Charte Olympique qui interdit à la fois toute « propagande politique ou religieuse » mais aussi toute « manifestation » de ce type...

    Elle fait l'impasse aussi sur la déclaration du président du CIO en avril dernier, devant la conférence des Comités Nationaux Olympiques à Pékin, arguant des termes de la Charte Olympique cités plus haut, c'est-à-dire l'« interdiction de toute manifestation politique ou religieuse sur les sites olympiques », pour prendre position contre le projet des athlètes français de porter un badge sur lequel aurait été inscrite une simple citation de la Charte Olympique « pour un monde meilleur ». La porte parole du CIO tient, à ce propos, à souligner la différence entre la demande des athlètes français et celle de l'iranienne : « Les Hexagonaux n'ont pas posé comme condition de porter le fameux badge. La sportive iranienne, championne de taekwondo, elle, ne viendra pas si elle ne peut se couvrir du foulard ».

    On devine le chantage sexiste : ergoter sur les signes symboliques c'est exclure une femme qui plus est d'un pays ayant peu d'athlète et notamment d'athlètes femmes.

    Eh alors ! Ce n'est pas un argument recevable ! C'est même un chantage inadmissible ! Elle ne doit pas venir avec son symbole et son accoutrement ! Ni elle ni les autres !

    Christian DELARUE Resp national asso antiraciste

    1) Lire par exemple Michel CAILLAT Le sport olympique remis en cause

    http://www.apetudiante.info/spip.php ?article791

    2) Lire Annie Sugier

    http://www.ripostelaique.com/_annie-sugier_.html


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  • SIONISMES : Faut-il prendre en compte le sionisme non colonialiste?

    Par facilité on parle souvent du sionisme alors qu'il y a plusieurs courants historiques pas toujours aisés à repérer d'ailleurs. Mais ces courants sont rarement solidaires du peuple palestinien. D'ou la globalisation. J'ai eu cette réponse (sans nom d'auteur) qui signale un sionisme anti-colonialisme . Bien. Mais il est dit qu'il est marginal.

    A PROPOS DES SIONISMES :

    Depuis le début du sionisme, il existe trois courants fondamentaux :
    - le courant de la " droite sioniste " impérialiste, animé par Jabotinsky (et dont est issu Sharon), qui prône la construction d'un "Grand Israël" et d'une armée puissante.
    - le courant du " sionisme pragmatique ", derrière Ben Gourion et les travaillistes, qui se mobilisent pour la création de deux états, israélien et palestinien, et la résolution des conflits au coup par coup.
    - le courant de la " gauche sioniste ", avec les marxistes et Martin Buber, qui préconisait un accord préalable avec les Arabes pour la création d'un état binational. Ce courant est bien sioniste, mais en aucun cas colonialiste.

    Buber fut une figure marquante, et aujourd'hui méconnue, du mouvement sioniste : Il milita en faveur d'un foyer juif en Palestine, et de la coexistence judéo-arabe - essentiellement dans le cadre du mouvement Ihud [Union], qui visait à la création d'un état binational judéo-arabe en Palestine.
    Au congrès sioniste de 1921, Martin Buber déclare : " Le peuple juif proclame son désir de vivre en paix avec ses frères, le peuple arabe, et de faire de la patrie commune, une république dans laquelle les deux peuples pourront s'épanouir librement. "
    En 1938, Buber dut fuir le nazisme et s'installa en Palestine, où il enseigna à l'université hébraïque de Jérusalem. Après la création de l'État d'Israël, il fonda et dirigea l'association Ihud, au sein de laquelle il poursuivit inlassablement ses efforts de rapprochement avec les Arabes.

    Les idées de Buber étaient largement partagées à l'époque... Citons entre autres les " Cananéens ", groupe de poètes et d'artistes juifs qui revendiquent pour tous ceux qui sont nés sur la terre des patriarches, une seule patrie : " Canaan ".

    A cette époque, le courant impérialiste de Jabotinsky est très loin de dominer le sionisme. Il se sépara même de l'Organisation sioniste mondiale en 1933. Mais après la deuxième Guerre Mondiale et le génocide nazi, le courant de la "gauche sioniste" perdit beaucoup de terrain, et la politique israélienne s'inspira très largement du courant sioniste colonialiste de Jabotinsky...

    Il n'en reste pas moins q'un sionisme de gauche non colonialiste a existé, et existe toujours de façon marginale.

    A PROPOS DES JUIFS ISRAELIENS :

    De nombreux Juifs, comme Martin Buber, se sont installés en Palestine/Israël pour fuir des persécutions nazies (ou d'autres Etats, Cf la privation de nationalité Egyptienne pour les non-musulmans, suivie de l'expulsion des Juifs instaurées par la politique de Nasser).

    De nombreux Juifs sont nés en Palestine/Israël, comme par exemple beaucoup de ceux qui refusent de servir dans les territoires occupés.

    Ces personnes ne sont absolument pas des colons impérialistes !

    Buber et ses descendants spirituels (comme les israéliens membres de Ta'ayush ou de Yesh Gvul) ne peuvent être assimilés à des colons. Ce sont de véritables résistants de gauche internationnalistes.

    Leur courage et leur justesse politique méritent notre admiration.


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  • POLITIS : FRONT COMMUN DE L'ALTERNATIVE A GAUCHE à Rennes

    Ce 19 juin à Rennes une équipe de militants organisait une soirée débat autour de Denis SIEFFERT et de l'appel Politis : "L'alternative à gauche, organisons-la !" (1)

    - Intervention de Denis SIEFFERT

    Il n'est pas question d'en donner ici un résumé mais juste quelques idées fortes. Denis SIEFFERT a expliqué au regard des aspects négatifs et positifs de l'expérience des collectifs antilibéraux ainsi qu'en fonction des échos des lecteurs de Politis qu'une initiative était possible et même nécessaire. Pour Denis SIEFFERT, les divisions des collectifs antilibéraux sur le choix - obligé par le système présidentialiste - du "bon B" (Bové, Buffet, Besancenot) ne devaient pas cacher que ces collectifs avait permis de se faire durablement rencontrer des acteurs et actrices provenant de divers partis (PCF, Verts, LCR) qui avaient beaucoup plus l'habitude de s'affronter idéologiquement que de chercher des points communs dans la confrontation. Politis pouvait prendre une initiative de nouvelle convergence qui pour réussir devait s'éloigner d'une quelconque échéance électorale. Politis n'a pas vocation par ailleurs à entrer dans la bataille politique proprement dite. Politis ne peut que faciliter la constitution d'un front commun contre Sarkozy.

    - Plusieurs acteurs et actrices ont participé au débat :

    La aussi absolument rien d'exhaustif, les intervenants étant assez longs . Pascal FRANCHET responsable syndical a insisté sur le lien entre cet appel, malgré ses faiblesses, et les perspectives politiques nécessaires aux grèves et aux luttes sociales en cours, Christian DELARUE à la suite des propos de Pascal Franchet a lui défendu la dynamique unifiante de l'appel, au-delà de quelques formules ambiguës, car l'unité est vraiment nécessaire et urgente entre les antilibéraux et les anticapitalistes pour empêcher le glissement à droite du PCF vers un PS désormais nettement acquis au social-libéralisme . Il faut forger un cordon sanitaire entre ce PS (du moins les 4/5 ème de cette organisation et surtout parmi ses dirigeants) et le reste de la gauche PCF, Verts, NPA, etc.... Des membres de la LCR (Yves JUIN, Christian TAILLANDIER) ont critiqué cet appel notamment sur le point le plus dangereux qu'il offrait à l'instar des collectifs antilibéraux une porte ouverte au PS, alors que d'autres militants LCR ont insisté sur un autre danger bien plus fort - le sarkozysme - et donc sur l'urgence absolu de faire front commun (Bruno LEVEDER), d'autant qu'un tel front commun pour une alternative à gauche se construit dans le respect des autres processus en cours dont le NPA et non pas en contradiction (Dominique LESEIGNEUR) . Sylvie LARUE communiste unitaire a elle défendu un profil différent en insistant sur la vocation de transformation sociale de l'Alternative à gauche.

    - Enjeux secondaires : La transformation sociale n'est pas la transformation socialiste !

    Dans le sillage de cette analyse des intervenantes ont défendu l'idée d'un rapprochement nécessaire des "PS de gauche" avec les antilibéraux mais sans les anticapitalistes qui en restent à la dénonciation et ne veulent aller au gouvernement. Car avec la nouvelle droitisation du PS il y a place pour un parti social-démocrate ancré à gauche intégrant l'écologie et des réformes sociales conséquentes qui s'oppose au capitalisme sans vouloir "basculer" dans le socialisme.Ces propos ont le mérite de montrer qu'il a conflit de positions pour cette alternative mais ces enjeux ne doivent pas dissiper l'enjeu premier : la nécesité du front commun maintenant !

    Christian DELARUE signataire de l'Appel

    1) Appel : *http://www.appel-a-gauche.org/?petition=1**
    *

    *POUR UNE GAUCHE ECOLOGISTE ET SOCIALE* par Denis SIEFFERT *Politis* mercredi 30 avril 2008

    http://www.politis.fr/Pour-une-gauche-ecologiste-et,3606.html

    Jean-Jacques LAKRIVAL : Que faire de l'appel de Politis ? Unir !
    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article66751

    *MAINTENANT POUR UNE FORCE POLITIQUE A GAUCHE PLURIELLE HEGEMONIQUE*
    http://www.bellaciao.org/fr/spip.php?article65456

    *Travailler aux convergences des alternatives au capitalisme néolibéral*
    http://www.bellaciao.org/fr/spip.php?article52499

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  • Arrêt devant la gare ferrovière de Rennes de la manifestation du 14 juin 2008 contre la directive européenne dite de la "honte", qualificatif qui lui vient du fait de son contenu qui durcit la "guerre aux migrants" sous de multiples formes

    Manifestation contre l'Europe forteresse et contre la xénophobie d'Etat pour la solidarité de tous les travailleurs avec les travailleurs sans papiers.

    Les directives européennes comme le CESEDA français sont à reprendre intégralement pour instaurer une civilisation de liberté, d'égalité, de paix, de sécurité et de solidarité .


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  • Le SNADGI-CGT35 avec Pascal FRANCHET à gauche, Anouk LE CLOEREC, Christian DELARUE et d'autres fonctionnaires qui manifestent à Paris ce 10 juin 2008


    FONCTIONNAIRES, SANS PAPIERS, FIN DU SOLIDARISME

    Mort de Durkheim et Keynes comme voie de l'alter-capitalisme

    Posons d'emblée les grandes lignes de la situation . La tendance économico-sociale contemporaine, marquée par le néolibéralisme comme nouvelle phase du capitalisme (à accumulation à dominante financière), frappe l'ensemble du salariat des fonctionnaires jusqu'aux sans-papiers et pas qu'en France. L'ampleur de ces attaques montre que le solidarisme, sorte d'alter-capitalisme social apparu dans les pays les plus avancés, est vraiment à l'agonie. Avec la fin de cette exception, on assiste au rétablissement du capitalisme véritable.

    Le solidarisme est une conception républicaine progressiste et réformiste de la société (métropolitaine pas pour les colonies) qui s'est déployé au début du XXème siècle face au marxisme et en opposition au communisme montant. De nos jours, face à la montée du l'idéologie néolibérale qui organise la société capitaliste contemporain le marxisme qui est la pensée action de l'avènement du communisme à perdu du terrain ; mais pas seulement lui . La pensée solidaire connue sous le nom de solidarisme est lui aussi dans plein déclin.

    Le solidarisme qui organise la République sociale a été porté par le parti socialiste, parti social-démocrate .  Or le parti socialiste français est clairement devenu  un parti social-libéral depuis la fin des années 80. L'adoption des principes du social-libéralisme marque la fin de la mise en aplication du solidarisme.

    D'une certaine manière revendiquer des papiers pour les sans-papiers avec les sans papiers un jour et le lendemain lutter contre la démantèlement du statut de la fonction publique c'est participer à la contre-tendance qui exige la sécurisation du travail et l'intégration du salariat étendu au-delà des nationaux.

    Si l'hypothèse du "capitalisme pur" de Michel HUSSON se confirme alors la société salariale n'aura vécue que quelques dizaines d'années.

    - La longue casse des statuts et codes du travail


    La tendance historique des vingt dernières années est à ramener le statut des fonctionnaires (de l'Etat) à la copie d'un bon code du travail. Lequel bon code du travail n'a jamais existé puisqu'il serait un statut des fonctionnaires à la meilleure période de ses garantis. Qu'il n'y ait jamais eu de bons codes du travail n'empêche pas de voir la destruction progressive de ce code. La tendance du capital est de faire de la force de travail une pure marchandise. Cela n'est sans doute pas possible, même du point de vue patronal. Mais la tendance lourde est au rapprochement avec les conditions de travail des sans-papiers.


    - De la société salariale à la désaffiliation généralisée.

    Contre la division rigide et statique entre inclus et exclus - souvent utilisée à des fins idéologiques pour signifier aux fonctionnaires leur "privilèges" de travailleurs sous statut garanti par le droit - Robert Castel a mis en avant une vision plus dynamique : la désaffiliation. A la place du regard fixe - image de la photographie- il a favorisé une pensée en terme de processus . Le processus intégrateur a largement laissé place à la désaffiliation . R Castel a repéré la formation du salariat stabilisé et intégrateur dans les années 60 . Ce modèle s'est constitué contre le salariat précaire grâce au plein-emploi et aux droits sociaux garantis aux travailleurs salariés et à leurs familles . La crise des années 70 a renversé la tendance qui va vers la désafiliation sous forme de précarisation ou de chômage qui génère à nouveau des surnuméraires. Avec le néolibéralisme - comme forme du nouveau capitalisme à dominante d'accumulation financière - les sans papiers tendent à représenter chez certains patrons le modèle du salariat désiré : corvéable à merci sans code du travail ni inspecteur du travail.


    - La République sociale et le solidarisme comme période révolue.

    Dans la ligne de Durkheim les républicains défendirent le statut stable et garanti comme symbole de la solidarité, c'est-à-dire du lien qui assure la complémentarité et l'interdépendance des composantes d'une société en dépit de la complexité croissante de son organisation. La solidarité sous le capitalisme se nomme solidarisme et non socialisme. Mais le PS du XXème siècle est un parti solidariste et non pas socialiste. Depuis qu'il a participé à la dénaturation et à l'affaiblissement de la sécurité sociale on ne saurait le qualifier de néosolidariste. Il suffit de comparer avec ce que dit Léon Bourgeois : « L'organisation de l'assurance solidaire de tous les citoyens contre l'ensemble des risques de la vie commune – maladies, accidents, chômages involontaires, vieillesse – apparaît au début du XX^e siècle comme la condition nécessaire du développement pacifique de toute société, comme l'objet nécessaire du devoir social. » Cette citation, qui date de 1904, couvre tout le programme de la Sécurité sociale (créée en 1945 !).

    - Pur capitalisme ou socialisme?

    La République sociale et le solidarisme est-elle une période définitivement révolue ? Peut-il y avoir un altercapitalisme social et solidaire ? Ne s'agit-il pas d'une situation exceptionnelle incompatible avec le capitalisme? Le pur capitalisme, nouvel ouvrage de Michel Husson, <HTTP: www.alencontre.org livres LivreHussonWilno.html#1>est ordonné autour d'une thèse: le capitalisme contemporain tend vers un fonctionnement pur, en se débarrassant progressivement de toutes les «rigidités» qui pouvaient le réguler. Le capitalisme néolibéral jette donc par-dessus bord les régulations indispensables à sa survie dans la phase antérieure ou bien qui lui avaient été imposées par les luttes sociales.

    Une tendance essentielle marque la période: la baisse de la part des salaires dans la valeur ajoutée (c'est-à-dire la hausse du taux d'exploitation), ceci dans un contexte de mondialisation où le capital met en concurrence les forces de travail au niveau mondial. Par ailleurs, s'approfondissent le déséquilibre des Etats-Unis et leur besoin d'un afflux soutenu de capitaux extérieurs, notamment asiatiques (Chine, Japon). Le paradoxe de cette situation est que plus le capitalisme réussit à remodeler le monde à sa convenance, plus ses contradictions se durcissent.

    Christian DELARUE

    Il y a un an deux auteurs montaient, pour mettre en perspective le bilan de campagne de la candidate socialiste, que la regression centriste était la pente naturelle en politique du modernisme rocardien et que l'adoption de l'idéologie de Spencer sur la stigmatisation de "l'assistanat" y participait pleinement. Le PS d'en-haut est à jerber ! Les militant(e)s y travaillant pour "l'ancrage à gauche" y ont bien du mérite.


    A gauche, l'éternelle tentation centriste par Grégory Rzepski et Antoine Schwartz
    http://www.monde-diplomatique.fr/2007/06/RZEPSKI/14808





    R. Castel, Les métamorphoses de la question sociale. Une chronique du salariat, Fayard, Paris, 1995.

    Un pur capitalisme publié par les Editions Page deux (Lausanne, Suisse)
    commentaire d'H Wilno
    http://www.alencontre.org/livres/LivreHussonWilno.html



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