• Photo publicitaire d'une femme (encore !) ni très moche ni très belle mais "normale" à un certain âge ! Pas 90 ans mais plus 30 ans ! Elle n'est plus jeune et belle cette femme ! 

    Enjeu : on ne voit plus ici, comme à l'ordinaire, une femme entre de 22 à 32 ans jeune et jolie. Elle n'est plus ce qu'elle a été. On devine qu'elle a pu avoir moins de ventre ! Ici les femmes et les hommes prennent du ventre avec l'âge mais les femmes en souffrent plus que les hommes !

    Elle n'est donc plus franchement belle mais elle n'est pas franchement moche non plus. D'ou la possibilité d'en faire une publicité. C'est rare cependant. D'ou ce papier

    Entrée de la. commune de Chantepie 35135 à côté de Rennes

    http://altermd-krisdlr.centerblog.net/120-chantepie-photo-femme-agee


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  • Contre un certain féminisme sexyphobe, choisir un féminisme non sexyphobe 

    Il existe en effet un féminisme non sexyphobe qui refusent les humiliations et les violences sexuelles et sexistes mais laisse le droit à la séduction et au sexy mais il existe aussi un féminisme nettement plus austère, anti-sexy et anti-libidinal pourrait-on dire.

    Certaines féministes veulent en effet interdire - rien moins ! - les photos de fraction du corps humain féminin ou l'on ne voit pas le visage. Le visage étant l'élément de reconnaissance de la personne on comprend qu'il soit enlevé. Si vous ne le faites pas la personne vous demandera à bon droit d'enlever la dite photo. Parfois, on ne vous demandera d'ailleurs rien - pas de médiation - et on vous risquez de vous retrouver en procès devant un juge ! C'est le choix du répressif contre la médiation.

    Les féministes sexyphobes argumentent que ces photos plus ou moins sexy excitent la sexualité libidinale masculine et derrière elle le viol . Il convient de souligner alors que c'est le viol qui est interdit et pas le regard libidinal et que c'est abusif et illibéral de passer de l'un à l'autre ainsi pour réprimer ! Le  passage vers le viol ne concerne que certains hommes et on ne saurait à cause d'eux vouloir tout cacher, tout interdire et imposer une conception normative austère et totalitaire, digne des intégristes religieux, avec rien de sexy ou jugé tel ! Une jupe au genou c'est bon et une jupe à mi-cuisse devient sexy et interdit car activant potentiellement le regard libidinal masculin. Sur cette pente on sait avec les intégristes religieux sexyphobes qu'on en fini jamais car il faut cacher toujours plus .

    Ma réponse définitive depuis longtemps : On peut avoir un regard libidinal et sexuel et néanmoins respecter la personne, que l'on voit ou non son visage d'ailleurs. Et heureusement qu'il en est ainsi eu égard à la fonction libidinale courante du regard dans la sexualité masculine.

    Ch DLR


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  • Un sexoséparatisme nocturne et urbain en France

    Sortir du « malaise dans la gauche radicale concernant le féminisme » (Iris BOREAL - 1) est nécessaire. Voici un exemple pris avec un autre texte de Corinne TUTIN (2) publié le même jour : 21 janvier 2022 sur Médiapart .

    N’est-il pas odieux, injuste, inadmissible qu’il y ait un sexoséparatisme nocturne et urbain en France qui limite les sorties féminines ? Formellement rien n’est interdit mais en fait toute sortie devient un sport de combat ! Car un sexoséparatisme non théorisé, qui ne soit pas le fait d’une idéologie religieuse intégriste, mais bien issu d’un mode de vie sexiste et même patriarcal ou d’une part les hommes (jeunes 17-27 surtout) sortent le soir et la nuit en groupe (et l’effet de groupe est mauvais pour elles) et d’autre part les femmes restent chez elles ?

    EXTRAIT

    "J'avais oublié que ce n'est pas possible de rentrer chez soi tranquille quand on est une femme. 
    J'ai été ensuite frappée par le fait qu'il n'y avait pratiquement que des hommes dans la rue, allant quelque part ou devant un bar en train de fumer. Que des hommes partout. Elles sont passées où, les femmes ? Ça fait longtemps que j'ai constaté qu'on a perdu la bataille pour l'espace public, ça m'est arrivé plein de fois de voir notre absence dans la rue ou le métro dès qu'il commence à faire nuit ou qu'il est un peu tard. Et je comprends qu'on préfère le confort d'un appartement pour se retrouver, un taxi pour se déplacer, juste pour ne plus avoir à vivre ce stress, être sur le qui-vive en cherchant de quel côté va arriver le prochain connard qui va vouloir nous rappeler qu'on est chez lui, qu'il a droit sur nous." 

    D’aucuns préconisent alors la sortie des femmes en mode quasi-militarisé : jean, baskets, lacrymo et à plusieurs femmes ensemble. Cela peut se faire exceptionnellement . Mais il ne s’agit pas d’aller constamment vers une société unidimensionnelle ou les féminités (jupe, talons, bijoux, etc) sont relégués à la vie en journée tout comme en rêvent les sexyphobes, intégristes religieux ou pas.

    La réponse tiendrait alors dans l’éducation au refus général des oppressions et de celles sexistes au cas présent, question qui est à reprendre pour les gauches - pas que la gauche radicale.

    Christian DELARUE

    http://amitie-entre-les-peuples.org/Syndicaliste-contre-le-classisme-le-racisme-et-le-sexisme 

    1 - Malaise dans la gauche radicale - Au sujet du féminisme par Iris BOREAL
    https://blogs.mediapart.fr/iris-boreal/blog/210122/malaise-dans-la-gauche-radicale-au-sujet-du-feminisme

    2 - Traverser la ville à pieds (le soir en ville), être une femme. 2022 par Corentine TUTIN 
    https://blogs.mediapart.fr/corentine-tutin/blog/210122/traverser-la-ville-pieds-etre-une-femme-2022

     


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  • LA TENAILLE PATRIARCALE 

    LE PATRIARCAT PEUT AVOIR DEUX FACES pour sa domination sexiste : - 1) l'une, de type capitalo-patriarcal, qui impose non seulement le nu, le sexy mais aussi les humiliations, les rapports sexuels contraints et d'autres violences ; - 2) l'autre qui impose durement la pudeur et l'interdiction de la mini-jupe, du sein nu et du string en piscine ainsi que que l'interdiction la représentation par photo ou dessin du nu artistique ou du dénudé sexy par un recouvrement textile variable allant jusqu'au voilage complet chez les intégristes religieux et -

    Ch DLR


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  • Genre et pansexualité

    La pansexualité est une orientation sexuelle caractérisant les individus qui peuvent être attirés, sentimentalement et-ou sexuellement, par un individu de n'importe quel genre. (Cf définition du site gouvernemental : www.onsexprime.fr) On parle beaucoup plus souvent de bi-sexualité mais c’est plus restrictif. Notons ici le terme "skoliosexuel" pour une personne attirée par les personnes non-binaires. Enfin une personne qui ne ressent pas durablement d’attraction sexuelle envers autrui sera dite asexuelle.

    Eduquer les adolescent-es aux sexualités est un enjeu. La société doit savoir en même temps autoriser la relation sexuelle des adolescents entre eux au titre de la vie belle et saine qui surgit et protéger les jeunes des maladies (préservatifs) mais aussi des dérives diverses des sexualités destructrices : prostitution, pornographie (mais se masturber sur du nu reste possible), etc Les hommes adultes - parfois des femmes adultes - abusent (attouchements) des très jeunes sous couvert de consentement et cette prédation est à combattre

    L’hétérosexualité est connue comme l'orientation sexuelle ultra-dominante : Elle se manifeste par un désir affectif et sexuel pour des personnes de sexe opposé. Elle doit être gratuite (pas de prostitution) et bien consenties. Elle ne s’accommode pas toujours du cadre conjugal monogamique à principe d'exclusivité. Il y a donc une question importante de discrétion à assurer, et ce d’autant plus que les femmes s’adonnent de plus en plus aux ébats hors couple officiel. Pour n’avoir pas toujours été discret jadis j’appuie plus aujourd’hui sur cet aspect important.

    L’homosexualité est beaucoup mieux reconnu en France (et dans d’autres pays d’Europe) mais avec encore des stigmatisations et des discriminations à combattre . Elle se manifeste par une attirance pour les personnes de même sexe. Souvent les homosexuel-les sont obligé-es de se cacher (ne pas rentrer chez soi ensemble par exemple). Ailleurs : L’homosexualité est très réprimée dans les Etats et sociétés de culture dominante conservatrice en moeurs. Les intégrismes religieux y sont répressifs.


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