• En partant du texte de membres de la commission démocratie d’ATTAC - ou figure la "democratie césariste »

    https://france.attac.org/nos-idees/etendre-et-approfondir-la-democratie/article/pour-une-autre-democratie-une-autre-constitution

    Il y a eu un texte explicatif :

    DEMOCRATIE CESARISTE et ETAT NATIONAL-CLASSISTE

    https://blogs.mediapart.fr/christian-delarue/blog/091023/democratie-cesariste-et-etat-national-classiste

    Et sur un registre différent  : 

    CLASSISME et CESARISME : Déclin du social et du démocratique, une tendance à faire système

    http://amitie-entre-les-peuples.org/CLASSISME-ET-CESARISME-DECLIN-DU-SOCIAL-et-du-DEMOCRATIQUE-Une-tendance-a-faire

    La démocratie césariste et la démocratie classiste

    http://amitie-entre-les-peuples.org/La-democratie-cesariste-et-la-democratie-classiste-Christian-Delarue

    Sur un triptyque de dérive démocratique: 

    Democratie : cesariste, illibérale, démocrature

    http://amitie-entre-les-peuples.org/DEMOCRATIE-cesariste-illiberale-democrature?var_mode=calcul
     
    Ou :
     

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  • Double domination césariste-classiste :  La démocratie CESARISTE et la démocratie CLASSISTE.

    D’abord deux mots sur la "chose démocratique" avant d’aborder cet essai sur la conjonction de deux dérives combinées , une (anti)démocratique et l’autre (anti)sociale, soit une double domination conjointe que l’on peut dire "césariste-classiste"

    X - La démocratie est d’abord définie négativement par opposition aux 5 systèmes suivant :Retour ligne automatique
    1) les systèmes monarchiques, différent de la "démocratie présidentielle" à votation directe ou indirecte ou même de celle césariste car le citoyen n’existe pas, ne dit pas son mot d’aucune manière. Retour ligne automatique
    2) les systèmes oligarchiques ; bien qu’il y aient des ultra-riches équivalent d’une oligarchie financière sous les démocraties mixtes (directe et indirecte).Retour ligne automatique
    3) les systèmes ploutocratiques, où le pouvoir est détenu par ceux qui possèdent le plus de richesses. Cette collusion d’intérêts entre classe dirigeante et classe dominante (classisme) peut se retrouver cachée sous la démocratie représentative. Retour ligne automatique
    4) aux systèmes aristocratiques, où le pouvoir est détenu par ceux considérés comme « les meilleurs » : L’aristocratie héréditaire (sous le régime monarchique) a été remplacée par une sorte d’aristocratie élue avec la démocratie représentative qui fut d’abord censitaire et masculine avant d’être plus ouverte.Retour ligne automatique
    5) aux systèmes de tyrannie ou dictature. Faute de pouvoir de contrôle, les démocratures - qui usent de la votation citoyenne - se rapprochent des dictatures. Les démocratures sont plus autoritaires encore que les démocraties césaristes.

    X - Plus positivement, en matière démocratique, on peut trouver combinaison de démocratie directe (référendum et autres systèmes)) et indirecte (représentative) mais la forme délégataire et représentative est fortement majoritaire partout dans le monde. En France ce modèle à bi-régime est constitutionnalisé mais le système délégataire du pouvoir du peuple est dominant.

    On peut émettre l’hypothèse que le système délégataire suppose d’une part un citoyen se voulant peu actif, peu impliqué, parfois relativement peu instruit de la chose publique et ayant pas à se préoccuper surtout de sa survie (précarité) et d’autre part une élite démocratique disponible elle et rompue à l’activité de direction des affaires publiques. Ensuite, pour le volet "combinaison " des deux dominations, on dira comme Thierry Brugvin,que "les intérêts de classe unissent les classes dirigeantes économiques et les classes dirigeantes des pouvoirs publics" in Qui dirige le monde ? (blog Attac nov 2019)

    Le type de délégation de pouvoir caractérise une démocratie selon le type de mandat électoral, sachant que le mandat impératif le plus démocratique est rare. Au titre de la démocratisation des institutions, il pourrait être introduit dans certaines circonstances tout comme d’ailleurs le tirage au sort ou le référendum d’initiative populaire (RIP) ou les conventions citoyennes (CC).

    "Démocratie présidentielle" : le peuple vote directement ou indirectement (deux niveaux) pour un président de la République . De quelle République s’agit-il ? On distingue ordinairement trois régimes : 1) régime présidentiel, 2) régime parlementaire avec un Sénat en plus de l’Assemblée Nationale, et 3) le régime d’assemblée.

    La démocratie présidentielle peut se transformer en démocratie césariste ou les libertés publiques sont réduites, tout comme la démocratie.

    I - La démocratie césariste

    Évoquant l’Amérique latine, Maurice Duverger y identifiait en 1965 des « présidentialismes démocratiques » et des « présidentialismes autoritaires », en reconnaissant au demeurant que « beaucoup sont dans une situation intermédiaire ». Une démocratie présidentielle autoritaire, abusant en France du 49-3, n’écoutant pas son peuple manifestant durablement (semestre 2023 en France) peut être qualifiée de "démocratie césariste".

    Un cran au-dessus en terme d’autoritarisme on parlerait de "démocrature", ou derrière le processus électoral on trouve alors une quasi-dictature mais légitimée par l’élection et non par un coup d’Etat.

    Une démocratie peut être plus ou moins autoritaire. Les élections peuvent être plus ou moins manipulées afin que le peuple décide d’établir un régime droitier très classiste (point suivant), mais aussi un régime policier autoritaire avec de l’arbitraire policier afin d’établir plus de sécurité contre la délinquance (certains pays connaissent une criminalité forte qui freine la circulation de jour comme de nuit) mais aussi contre les manifestations syndicales ou celles pro-palestiniennes qui sont interdites en France (Oct - début nov 2023).

    Ce type de volonté populaire est dite droitière car il s’agit de soutenir une démocratie classiste qui défend la ou les classes sociales dominantes, le 1% pas que les ultra-riches de l’oligarchie.

    II - Les démocraties classistes

    Les démocraties réellement existantes depuis 1975-80 de part le monde au Nord comme au Sud sont classistes.

    Posons quelques hypothèses

    La démocratie est le pouvoir direct (rare) ou indirect (courant) du peuple, du peuple nation y compris donc sa classe dominante. Ce point est rarement précisé bien que les différentes formes de démocraties connues dans le monde soient toutes sans exception des démocraties classistes. La France de Mitterrand à Macron n’y échappe pas.

    Au plan du positionnement politique, en plus du propos déjà cité de Thierry Brugvin en introduction, plus on est de droite et plus on est classiste et plus on remplace alors le social par du caritatif pour laisser grande place au lucratif et donc des logiques de profit et d’inégalités économico-sociales. Plus on est de gauche et plus on veut limiter l’enrichissement des riches et instaurer du "social" sous forme de service public tarifé (gratuité possible) et de sécurité sociale socialisée et étendue !

    Ce que l’on nomme ordinairement "néolibéralisme mondialisé" avec deux aspects la "financiarisation du monde" et la "thatchérisation du monde" a produit, depuis 1979, une "oligarchisation du monde" avec des ultra-riches confortant une ou des classes dominantes préexistantes et riches : le 1%.

    La méritocratie reconnait les compétences individuelles mais le mérite s’il crée une élite n’oblige pas au classisme ni à la richesse or la méritocratie contemporaine, qu’elle soit liée ou non à des modes démocratiques de gouvernement, à des systèmes productifs plus ou moins capitalistes, avec peu ou pas d’institution non capitaliste et socialisées, s’accompagnent partout d’un classisme plus ou moins fort, donc d’une domination de classe.

    La méritocratie peut trouver place dans une démocratie non classiste ou notamment - ce n’est pas le seul critère - l’écart des revenus est contenu. Il existe alors une élite privée et publique reconnue pour ses compétences et ses qualifications qui se combine à une aisance matérielle et patrimoniale réelle mais contenue que l’on qualifiera d’aisée mais pas de riches. C’est assez important de faire cette distinction bien que peu facile. Prenons un exemple indicatif : Un cadre du public ou du privé vit en 2023 dans l’aisance matérielle avec sa maison payée intégralement et 5000 € par mois de revenu mensuel en France mais il sera jugé riche - et non pas aisé - avec le double soit 10 000 € par mois. D’autres diront 12000 € ou maxi 15000€ mais c’est là vraiment un maximum surtout quand les pauvres, travaillant ou pas, ont moins de 1000€ par mois. La justice se mesure avec l’écart entre ceux d’en-bas et ceux d’en-haut. Plus cet écart est grand et plus le régime est injuste socialement et classiste.

    Les écarts de revenus mensuels ne sont pas le seul critère du classisme. Il y a aussi le type de service public mis en place. Le type de code du travail qui limite ou non l’exploitation de la force de travail. L’existence ou non d’une RTT à 32 ou 30 heures hebdomadaires. L’âge de la retraite : Macron est classiste !

    En ce 25 novembre, il faut ajouter qu’un féministe du peuple-classe est aussi anti-classiste et à priori favorable à une démocratisation-féminisation des institutions.

    Christian Delarue

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    Suite de DEMO : césariste, illibérale, democratureRetour ligne automatique
    http://amitie-entre-les-peuples.org/DEMOCRATIE-cesariste-illiberale-democrature

    et surtout du :texte de plusieurs membres de la Commission Democratie d’ATTAC "Pour une autre démocratie, une autre Constitution" qui évoque la "démocratie césariste" (1),

    https://france.attac.org/nos-idees/etendre-et-approfondir-la-democratie/article/pour-une-autre-democratie-une-autre-constitution

    Texte prolongé avec un autre ici :Retour ligne automatique
    Démocratie césariste et Etat national-classisteRetour ligne automatique
    https://blogs.mediapart.fr/christian-delarue/blog/091023/democratie-cesariste-et-etat-national-classiste


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  • Dérives de la démocratie

     

    DEMO : césariste, illibérale, democrature

     

    ATTAC : De la DEMOCRATIE CESARISTE 

     

     

    La commission democratie d’ATTAC (certains membres) a produit en 2023 à la suite des 6 mois de manifestations contre la réforme Macron un texte (1) qui fait état d’une dérive césariste chez Macron, un Macron autoritaire très 49-3, qui en outre compose beaucoup avec l’extrême-droite. La notion de "démocratie césariste" a été développée, ensuite, dans "Démocratie césariste et Etat national-classiste » (2) C’est un travail de fait qui complète le premier : cela forme un premier ensemble. Travail à poursuivre. 

     

    I - "Démocratie césariste" à DEMOCRATIE ILLIBERALE 

     

    La démocratie césariste met plus l’accent sur l’autoritarisme de l’exécutif, la seconde - démocratie illebérale - plus sur les effets en termes de libertés bafouées par rapport à la démocratie libérale. 

     

    Cependant démocratie illibérale ne signifie pas, sauf exception, atteinte de la liberté d’entreprendre pour les entrepreneurs et patrons mais plutôt que les libertés publiques sont atteintes pour le peuple, et notamment que les manifestations sont interdites , que les minorités sont contrôlées.

     

    Tocqueville comme Raymond Aron n’auraientt pas trop peur de cette démocratie policière qui conforte une démocratie de classe, une démocratie des possédants, un classisme.

     

    Cette démocratie montre une dégénérescence du triptyque républicain : liberté égalité et fraternité. Il y a rapprochement avec démocrature. 

     

    II - "Démocratie césariste" à la "DEMOCRATURE"

     

    La démocrature est nettement plus proche de la dictature, que la démocratie césariste qui est autoritaire contre le peuple qui descend dans la rue !

    La démocrature, c’est pire encore qu’une démocratie césariste eu égard au terme « crature » qui renvoi à dictature, ce qui rend ce mot plus percutant. 

     

    Dans démocrature le peuple a donné son accord majoritaire à un autoritarisme policier pour sécuriser les relations sociales là ou il y a beaucoup de délinquances (en oubliant les cols blancs) voire de crimes (ex Amérique latine)! Ou - autre aspect - pour exclure les migrant-es de la nation (xénophobie, racisme).

     

    Ces violences policières contre les syndicats sécurisent aussi la domination de classe, le classisme. Peu de démocrates en parlent.

     

    Dans démocrature, ce n’est pourtant pas la dictature du peuple, ce qui ne serait pas trop dérangeant pour les 99% (grosso modo), c’est plutôt l’inverse une dictature de classe ou de caste contre une très large fraction de peuple. 

     

    Christian Delarue

     

    Texte d'ATTAC ou figure la "democratie césariste"

    https://france.attac.org/nos-idees/etendre-et-approfondir-la-democratie/article/pour-une-autre-democratie-une-autre-constitution

     

    Texte prolongé avec un autre ici :

     

    https://blogs.mediapart.fr/christian-delarue/blog/091023/democratie-cesariste-et-etat-national-classiste

     

    Sur ce sujet : Typologie sur les trois dérives démocratiques

    http://altermd-krisdlr.centerblog.net/225-typologie-sur-trois-derives-democratiques

     

     

     

     

     

     


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  • Israel, démocratie césariste ou démocrature coloniale.
     
     
    "Démocratie césariste" : il y a encore débat et votation mais tout le reste est dégradé. Lorsque la dégradation est forte en terme de libertés publiques on passe en démocrature, sorte de dictature avec masque électoral.
     
    XX
    « Israël, une démocratie devenue illusoire » tel est le titre d'un article du Monde daté du 30 décembre 2022 et qui parle de la démocratie israélienne avec la présence de suprémacistes juifs et d' ultraorthodoxes. "Le glissement d’Israël vers l’extrême droite ne date pas des dernières élections, rappelle, dans une tribune au « Monde », le politiste Samy Cohen. Un travail de sape basé sur un fanatisme religieux et une idéologie raciste est à l’œuvre de longue date. Au risque de détruire définitivement les bases de la démocratie. »
     Comment qualifier la démocratie israélienne ? Jean-Luc Picard-Bachelerie (1 - sur Agoravox) pose la question suivante :
    1) « Une démocratie qui vote des lois d’apartheid, qui ne respecte pas le droit international systématiquement, qui colonise un territoire qui ne lui appartient pas, qui s’appuie sur des croyances religieuses, fondamentalistes, est-ce bien une démocratie ? » Si le cadre de votation citoyenne est légalement posé et respecté on pourra parler de « démocratie illibérale » ou de « démocrature » ou mieux de « démocratie césariste » (Com-democratie ATTAC). Cela signifie que l’on a bien affaire à une démocratie (débat et vote) mais dégradée, autoritaire, policière, militarisée, avec des forces fascistes plus ou moins installées au coeur des institutions. La République apparait comme encore plus dégradée : quasiment inexistante.
    Jean-Luc Picard-Bachelerie poursuit :
    2) « Peut-on prendre comme modèle une telle démocratie ?" Non : peu de monde en voudrait !
    3) La démocratie est-ce seulement des élections et quelques institutions ? La sollicitation régulière du peuple selon une procédure démocratique contrôlée est signe de démocratie mais rien ne dit de sa qualité : il faut la qualifier .
    4) Une démocratie ne doit-elle pas porter des valeurs et des principes d’égalité, de solidarité et de laïcité qui irradient toute organisation, toute décision politique ? » Une démocratie « au rabais » met l’accent sur la votation, populaire et le respect contrôlé des procédures mais il n’est pas dit que tous ont les mêmes droits citoyens. Et une démocratie peut être fortement classiste, raciste, colonialiste.
     
    - Démocratie classiste : la citoyenneté démocratique majoritaire avec ses élus non seulement ne font rien pour abolir la domination de classe mais ils la renforce . Le classisme apparait de façon visible avec des très riches et des pauvres et précaires vivant de peu. La France de Macron est classiste.
    - Démocratie raciste : La référence juive placée dans la constitution d'Israel (en juillet 2018) est propagée dans toutes les formations scolaires et a pour corollaire un courant déni d’humanité affecté aux palestiniens traités comme des « animaux" . On évoque même au plan des discriminations un « apartheid » (cf dernier livre de Charles Enderlin)
     
     
    Dire "démocratie césariste" ne suffit peut-être pas encore à définir suffisamment la dérive autoritaire de ce régime politique car elle est certes cela - tout comme la France de Macron - mais aussi plus que cela encore ! De ce fait les mots peuvent manquer .
     
    Disons que "démocratie césariste" porte une première accusation nette d’une dérive autoritaire inquiétante pour tout démocrate. Mais si on dit cela pour la dérive de M Macron alors que dire pour la gouvernance d’Israel ?
    Gouvernance ? Voilà un terme qui met l’accent sur le "gouvernement des humains" sans aucune participation démocratique réelle, sans débat ni choix, sans évocation des droits affectés. Alors gouvernance césariste ou bonapartiste : on dira bonapartiste du fait de la colonisation.
    Israel, à la réflexion est plus proche de la démocrature (dictature avec masque électoral) que de la democratie césariste.
    Christian Delarue
     
    Jean-Luc Picard-Bachelerie : Israel est-il une démocratie?
     
     
    Démocratie césariste et Etat national classiste
     

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  • GAZA : Le MRAP pour la paix et solidaire des palestiniens

    Tout d’abord , le MRAP est et restera solidaire du peuple palestinien, tout le temps qu’il faudra.

    Le MRAP est une association antiraciste et pour l’amitié entre les peuples. Deux volets donc . Dans son ancienne dénomination, celle d’avant 1977, il y avait la paix, au lieu et place de l’amitié (entre les peuples). Et bien, parfois, quand il devient très difficile d’évoquer l’amitié, car elle est enfouie sous les décombres, il reste alors à promouvoir la paix, la paix dans la justice. Et là il y a urgence !

    Extrême-urgence ! Agir tout affaire cessante.

    C’est un cri que les dirigeants doivent entendre car ils ont les yeux rivés sur d’autres problèmes. Cela a été dit, des femmes, des enfants sont tués sous les décombres ou sous les balles et en grand nombre, en très grand nombre. C’est un massacre inommable : le Massacre (avec majuscule) !

    Il faut la paix des armes mais pas seulement car l’occupation et les spoliations se font aussi en Cisjordanie. Que les gazaouis périssent tous ne suffit pas aux criminels israéliens, il leur faut donc ajouter un autre front, une seconde guerre "à bas bruit", celle ordinairement menée par les colons depuis des décennies. Tout cela est odieux et insupportable.

    Les peuples, les hommes et femmes du peuple de France, demandent aux gouvernements aux chefs d’Etat et à tout dirigeant ayant pouvoir d’intercéder pour l’urgence de l’heure. La diplomatie doit faire son travail. Certes, elle est ordinairement discrète. Mais des chefs, comme Macron ou d’autres en Occident, doivent cesser de se cacher indéfiniment derrière le Hamas pour ne rien faire ! Ou trop peu ! Stop à la complicité !

    Christian Delarue
    À Rennes ce 18 nov 23
    CN du MRAP et délégué à l’altermondialisme 
    MRAP : Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples

     

    http://ekladata.com/n1mIWgRze5glOX1rKJoxnkZlwz8/IMG-2523.jpg


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