Photo de nu : lesquelles ?
Il y a photo de nu et photo de nu . S'interdire de voir du nu ou du sexy quand une large part de la sexualité est fondé sur le regard autant que sur le toucher apparait difficile. Cela ne semble guère fonctionner. Alors il faut mettre des balises, poser des seuils mais on navigue dans l'incertitude.
Je tente ma réponse qui montre peut-être un trajet d'émancipation non abouti :
1) Déjà ne rien payer (base anti-prostitution).
2) Ensuite éviter les vidéos de sexe même si certaines peuvent être soft : pas de vidéo !
3) Ensuite éviter les photos d'humiliation, de violence manifeste, de souffrance, de sadisme .
Déjà être d'accord sur ces trois points dans le monde actuel est une avancée.
4) Eviter les photos avec pénétration(s) sexuelle(s), simple ou multiples (dans plusieurs orifices) . Là du coup c'est un pas encore plus grand de franchi.
Il est même possible d'avoir une sexualité réelle sans pénétration (idée plus acceptée avec l'âge semble-t-il).
Reste les photos érotiques, modérément sexualisées car on y voit ce qu'à l'ordinaire on ne voit pas (la fente, les seins, les fesses) et qui alimentent le désir sexuel masculin des hommes, surtout pouur ceux qui vivent sans sexualité relationnelle.
Extension :
Que les hommes surtout (les femmes aussi mais moins) aient une sexualité largement "objectifiante" du fait du contexte c'est une chose assez commune et générale, mais qu'ils soient nombreux à phantasmer de viols et de pénétrations et copulations non consenties, non désirées c'est autre chose. Il y a un seuil entre les deux modalités. Après le fantasme n'est pas le vouloir réaliser. Mais pour les viols, ce sont plus les hommes que les femmes qui passent à l'acte.
Ch D
http://krismondial.blogg.org/photo-de-nu-lesquelles-a216232383
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Photo de nu : lesquelles ?
Il y a photo de nu et photo de nu . S'interdire de voir du nu ou du sexy quand une large part de la sexualité est fondé sur le regard autant que sur le toucher apparait difficile. Cela ne semble guère fonctionner. Alors il faut mettre des balises, poser des seuils mais on navigue dans l'incertitude.
Je tente ma réponse qui montre peut-être un trajet d'émancipation non abouti :
1) Déjà ne rien payer (base anti-prostitution).
2) Ensuite éviter les vidéos de sexe même si certaines peuvent être soft : pas de vidéo !
3) Ensuite éviter les photos d'humiliation, de violence manifeste, de souffrance, de sadisme .
Déjà être d'accord sur ces trois points dans le monde actuel est une avancée.
4) Eviter les photos avec pénétration(s) sexuelle(s), simple ou multiples (dans plusieurs orifices) . Là du coup c'est un pas encore plus grand de franchi.
Il est même possible d'avoir une sexualité réelle sans pénétration (idée plus acceptée avec l'âge semble-t-il).
Reste les photos érotiques, modérément sexualisées car on y voit ce qu'à l'ordinaire on ne voit pas (la fente, les seins, les fesses) et qui alimentent le désir sexuel masculin des hommes, surtout pouur ceux qui vivent sans sexualité relationnelle.
Extension :
Que les hommes surtout (les femmes aussi mais moins) aient une sexualité largement "objectifiante" du fait du contexte c'est une chose assez commune et générale, mais qu'ils soient nombreux à phantasmer de viols et de pénétrations et copulations non consenties, non désirées c'est autre chose. Il y a un seuil entre les deux modalités. Après le fantasme n'est pas le vouloir réaliser. Mais pour les viols, ce sont plus les hommes que les femmes qui passent à l'acte.
Ch D
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