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Par ockren le 20 Août 2023 à 19:11
Populisme ? « Nous sommes les 99% » avec la « sous-bourgeoisie"
Nous, altermondialistes, ne méprisons nullement la « sous-bourgeoisie »(les 19% sous le 1% ) car si ce groupe social se montre objectivement hétérogène (la fraction haute est financièrement aisée et composée de dominants-dominés) subjectivement ambigu, il fait néanmoins parti des dominés face à la classe dominante, classe dominante elle-même hiérarchisée. D'ou le "nous sommes les 99%" les comprenant avec les autres classes sociales dominées de la société, celles qui subissent plus encore l'exploitation, les bas revenus, et d'autres oppressions..Les 99%, autrement dit le peuple-classe, forme un cadre d’alliance pour se mobiliser contre les classes dominantes et leurs politiques, pas que les ultra-riches de l'oligarchie mondialisée, l'ensemble de la classe dominante, des classes dominantes bicéphales.suite sur Altermd-krisdlr.http://altermd-krisdlr.centerblog.net/207-populisme-les-99-les-sous-bourgeoisie
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Par ockren le 13 Avril 2023 à 21:21
Deux triptyques pour changer de monde
Deux triptyques se complètent, ce qui fait six combats à mener pour les acteurs et actrices du peuple-classe, ceux et celles qui, à un titre ou à un autre, se mobilisent en faveur des classes et strates sociales dominées, grosso modo les 99%.
Ces deux triptyques semblent spontanément agir dans un cadre national, mais pour nous, ils s’insèrent dans une dimension continentale et même mondiale.
- Le premier triptyque pour trois grands combats :
le DEMOCRATIQUE, le SOCIAL, l’ ECOLOGIQUEvoir attac ou cadtm (liens c-dessous)
- Notre second triptyque :
Ni CLASSISME, ni SEXISME, ni RACISME.voir attac ou cadtm (liens ci-dessous)
Plan :
I - Capitalo-patriarcat : classisme et sexisme ensemble
II - Au capitalo-patriarcat s’ajoute un racisme constant et multilatéral
sur ATTAC (blog hegemonie-democratisation)
et sur CADTM
http://www.cadtm.org/Au-capitalo-patriarcat-s-ajoute-un-racisme-constant-et-multilateral
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Par ockren le 21 Février 2023 à 08:50
Les deux niveaux des dominations globales.
Ces deux niveaux sont à lire dans les trois champs (de bataille) suivants : classisme, sexisme, racisme.
Auparavant, puisqu’ont parle de « classisme", il faut commencer par évoquer la classe dominantecar c’est elle qui dans chaque nation mène la danse.Il y a une seule classe sociale qui le soit en soi et pour soi, disait Daniel Bensaid , c’est la classe dominante au sommet de la société et qui n’est pas le tout petit groupe oligarchique.
Aspects à retenir :
1 - Elle existe en soi et pour soi
2 - Elle mène la lutte de classe et elle la gagne (Waren Buffet), donc fort classisme de domination (pas que de discrimination)
3 - Elle s’est internationalisée avec la globalisation économique
4 - Elle peut être bi-céphale avec branche privée capitaliste, branche publique HFPE : pluriel possible ici
5 - Elle est stratifiée au sein du 1% au plan des richesses matériellesXXDominations, discriminationsI - DEUX NIVEAUX de violence lorsque l’on dit : « classisme, sexisme, racisme »,
Il y a deux niveaux de violences : un premier niveau relève des discriminations et du mépris, un second relève lato sensu des dominations qui frappent plus largement que les discriminations.
On ne devrait pas réduire, dans chaque champs, les différentes violences à du simple mépris ou aux les seules discriminations sans rien dire de plus à contester, dans chaque champ, sous ses mêmes termes .
S’en tenir aux seules discriminations dans chaque champ, c’est faire silence sur les violences plus globales, plus vastes, qui frappent de façon très diverse beaucoup plus largement . Il importe de pointer et dénoncer aussi les violences globales.
Il y a bien un enjeu théorique et pratique avec ce triptyque « ni classisme, ni sexisme, ni racisme » : on ne devrait pas s’en tenir à une conception réductrice qui nuit à la pluri-émancipation.
Se limiter au seul niveau des discriminations et du mépris est bien trop compatible avec le maintien du système de domination d’ensemble (sur les trois champs ) qui peut alors se limiter à promouvoir la seule lutte contre les discriminations, les exclusions, la pauvrophobie - ce qui est positif quoique non réalisé - sans rien toucher à ce frappe aussi les « non pauvres », les inclus et les non discriminés qui pourtant subissent la violence de classe .
Les syndicalistes à la carrière bridée le savent mais d’autres salarié-es aussi qui subissent des conditions de travail lamentables dignes du XIX ème siècle.Chaque système de domination, chaque champ ici spécifié (il y en a d’autres), ne doit pas se limiter au seul niveau de la discrimination ou du mépris alors que la violence de classe (le classisme), de sexe et de patriarcat (le sexisme) et de « race » (le racisme) est beaucoup plus vaste. Il importe donc de dépasser à gauche et dans l’altermondialisme une vision réductrice lorsqu’on dit : « Ni classisme, ni sexisme, ni racisme ».
En un sens global (qui n’évoque donc pas les seules discriminations) la signification du triptyque devient :
1) Le CLASSISME se comprend comme une vaste domination de la classe dominante (bicéphale et stratifiée). C’est alors le peuple-classe qui subit cette violence sociale, certes de façon hétérogène selon la position dans la hiérarchie sociale mais même les dominants-dominés peuvent la percevoir (pas sur le salaire ou sur le logement mais sur plusieurs autres aspects. (Renvoi ici au texte II ci-dessous).
2) Le SEXISME se comprends aussi comme vaste domination globale du patriarcat et des hommes (en général). Ce sont les femmes (en général) qui subissent violences insidieuses ou lourdes, inégalités maintenues et moindre libertés. Faut y ajouter les lesbiennes et les transgenres.
3) Le RACISME peut aussi se comprendre comme racisme systémique ou structurel persistant outre donc - on se répète - les injures racistes d’individus racistes. Le racisme systémique se lit - par exemple - dans la police ou il est nécessaire d’aller en chercheur scientifique sous la surface de l’iceberg pour ne pas se limiter à tel ou tel évènement qui pourrait montrer qu’il s’agit d’une simple bavure . Pourquoi le racisme est-il combattu dans certaines administrations - comme la DGFIP par exemple - et pas dans la police ou les autres appareils d’Etat répressifs ?
Evoquons le « Pas tous » si souvent évoqué : Tous, du 1%, des hommes, des « blancs », ne sont pas dominants et oppresseurs dira-t-on. Certes mais ce n’est pas le problème ! Ce n’est pas une question d’individus mais de domination d’ensemble, systémique. Il importait de le préciser.
xx
DES RESISTANCES AUX EMANCIPATIONS
II - Ni classisme, ni sexisme, ni racisme.
Face aux dominations - ici trois seulement (mais nous pourrions en rajouter d’autres : homophobie, intégrisme religieux, carnisme, etc) - il y a en face des résistances (en contre) et même des émancipations qui surgissent et qui visent à :
SORTIR DU CLASSISME par réduction du pouvoir multiple de la classe dominante et diminution de la richesse d’en haut, redistribution vers en bas
SORTIR DU SEXISME et du patriarcat par des ripostes multiples : il existe désormais un vaste corpus d’analyses et de revendications dans certains syndicats et dans ATTAC qui posent une émancipation du capitalo-patriarcat ou même d’un hyper-patriarcat des intégrismes religieux
SORTIR DU RACISME par une riposte contre le racisme sous toutes ses formes, le caché ou le visible et pour aller vers l’égalité réelle
Autres valeurs : solidarité et égalité :
Refus du CARNISME : Il va de soi que « l’égalité de considération entre humains et animaux non humains » devrait déboucher sur plus de conscience et de solidarité pour arrêter la tuerie des animaux. Si les animaux non humains souffrent doit-on continuer à l’ignorer et poursuivre cette énorme tuerie de masse . Une prise de conscience est nécessaire face à cette barbarie. Il y a ici défaut collectif , entretenu par des lobbies, de sensibilité à la souffrance animale. Cela nous diminue, chacun-e, dans notre propre développement des solidarités vers plus d’égalité.On peut défendre les prostitué-es (les putes surtout) comme individu-es respectables mais lutter aussi contre la prostitution sans cependant assimiler la simple exhibition de son corps (sans pénétration ni attouchements) à de la prostitution.
La riposte au classisme mais aussi au sexisme et au racisme se fait au sein du peuple-classe. Pourquoi reprendre ce terme. Il mérite d’être explicité.
XX
A la suite de ce bref exposé il convient de souligner que le peuple-classe sous la ou les classes dominantes sont l’ensemble des classes et strates ou couches dominées et forme aussi le cadre de riposte de celles et ceux d’en-bas.
La nation comme l’entreprise néolibérale mélange les dominants et dominés. Il faut donc penser hors du cercle communautaire très englobant, que ce soit la nation ou l’entreprise. Ces cercles masquent les hiérarchies sociales, les pouvoirs de classe.
Christian Delarue
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Par ockren le 19 Février 2023 à 16:27Deux textes rassemblés iciOn ne dit pas peuple-strates dominéesAvant d’aborder le vaste peuple-classe ou peuple-strates dominé (2) évoquons la classe dominante (1) car c’est elle qui mène la danse pas la classe ouvrière .1) Classe dominanteIl y a une seule classe sociale qui le soit en soi et pour soi, disait Bensaid , c’est la classe dominante au sommet de la société et qui n’est pas le petit groupe oligarchique.Aspects à retenir :1 - Elle existe en soi et pour soi2 - Elle mène la lutte de classe et elle la gagne donc fort classisme de domination (pas que discrimination)3 - Elle s’est internationalisée avec la globalisation économique4 - Elle peut être bi-céphale avec branche privée capitaliste, branche publique HFPE: pluriel possible ici5 - Elle est stratifiée au sein du 1% au plan des richesses matérielles2) Le vaste peuple-classes ou peuple-strates dominésTout le reste sous cette classe dominant forme un ensemble qui relève plus du peuple dominé que des classes mais si on dit peuple-classe c’est que ce peuple lest composé de classes dominées en intégrant le fait que de nos jours nombreux parle en terme de strates au sein du peuple : classes populaires et classes intermédiaires relèvent beaucoup d’une analyse stratificationniste mais on ne dit pas peuple-strates des 99%.Le terme qui est apparu chez plusieurs auteurs et que j’ai repris c’est peuple-classe, et ce aussi à la suite du « nous sommes les 99% ».3) Le problème de la mobilisation et des convergencesOn entend ci-dessous un débat sur les classes intermédiaires dominées qui se mobilisent plus que les classes populaires plus dominées encore mais qui peinent à se mobiliser car plus soumises aux diktats patronauxLes intérêts communs des 99% sont de se libérer du classisme soit de la très forte domination de classe de la classe dominante, mais les alliances ou convergences sont difficiles car il y a des divisions catégorielles, de genre (sexisme) plus des oppressions diverses et différenciées4) Lire - EcouterPierre COHEN-SEAT (un autre PCS que P Cours-Salies) a écrit un livre en 2016 sur le peuple ou les classes populaires et celles intermédiaires forment les classes dominées soit le peuple sous la classe dominante (et il a dit parfois peuple-classe)https://www.humanite.fr/en-debat/patrice-cohen-seat/patrice-cohen-seat-nous-ne-sommes-pas-dans-une-societe-apathique-mais On peut aussi l’entendre sur une radio (avec Loic Blondiaux) https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-grande-table-2eme-partie/le-nouvel-essor-de-la-lutte-des-classes-8563917Ch DLRMa pomme : Je suis marxo-populiste du peuple-classe soit un travail théorique et pratique qui tente d’intégrer le refus du sexisme et du sexisme au refus du classisme, qui intègre aussi les cadres (comme l’UGICT CGT). Je peux me dire de gauche que si cela signifie rassemblement difficile mais possible du peuple-classe sur des bases émancipatrices du classisme mais aussi du sexisme et du racisme. En ce sens les syndicats de classe et de masse sont incontournables malgré les insuffisances. Les féministes ont aussi leur mot à dire. Et le combat antiraciste contre toutes les formes repérables est aussi décisif.Domination classiste et sexiste. `Pour un libéral comme François Perroux la domination caractérise d'une manière générale le fait qu'une entité économique est capable de mobiliser à son profit des effets d'asymétrie qui lui permettent d'influencer de façon forte et durable d'autres entités ou acteurs économiques et d'en tirer bénéfice.Cette définition se limite aux entreprises et au secteur économique.Elle ne dit rien de la domination de classe. D’autres, dans cette ligne théorique, ajouteront l’Etat néolibéral aux firmes multinationales mais les groupes humains agissant reste absent, invisibilisés, à l’exception de quelques multi-milliardaires bien référencés.La domination de classe ne se réduit absolument pas aux privilèges et pouvoirs des milliardaires les plus riches, qui serait plutôt de l’ordre de la domination oligarchique.Ce sont surtout des sociologues, pour l’essentiel Max Weber, Bourdieu et tous ceux marxistes, qui se sont intéressés à la domination de classe (dite classiste) et de genre (dite sexiste) et - c’est là fun point important - l’une et l’autre ne relèvent pas que de la discrimination ou du mépris comme dans une certaine conception - vraie aussi - du sexisme et du racisme, compris ainsi dans ce sens restreint. Il y a plusieurs niveaux ou conceptions pour le classisme et le sexisme. Il y a un sens plus global et un plus réduit.Le classisme ne se réduit pas non plus à la pauvrophobie.Pour citer aussi ici un autre aspect de la question. Le classisme, comme la domination masculine (cf Bourdieu), est aussi compris de deux façons : d’une part comme discrimination sociale ou mépris de classe et d’autre part comme domination de classe.A cette conception s’est ajouté en 2005 la fameuse phrase de Waren Buffet sur la « guerre des classes » ou il dit que c’est sa classe (des riches) qui la mène et qui la gagne.Et Bernard Thibault a lui écrit en 2016 « La troisième guerre mondiale est sociale » . Elle est mondiale, transnationale, et venant des classes dominantes.La troisième guerre mondiale ne vient pas des classes dominées, du peuple-classe. Elle ne vient pas d’en-bas, même si on trouve des petits patrons à s’identifier aux grands patrons. Elle vient d’en-haut, là ou on trouve aussi des personnes nullement "patrons" ! C’est là une difficulté de la composition de la classe dominante, c’est qu’elle bi-céphale, et pas qu’en Chine à économie mixte : une branche capitaliste et une autre qui ne l’est pas, notamment celle de la HFPE.Ch DLR
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Par ockren le 8 Octobre 2022 à 12:31
CLASSISME : La violence sociale d’en-haut.
https://blogs.mediapart.fr/christian-delarue/blog/081022/classisme-la-violence-sociale-d-en-haut?
Les belles âmes font silence sur la violence sociale de classe des classes dominantes. La riposte populaire multiforme vient de là !
I
VIOLENCES SOCIALES
Avant d'aborder ce problème de la domination de classe et de la violence de classe il nous faut évoquer les autres formes de violence sociale.
- La violence sociale est multiforme.
On pense ordinairement au racisme et au sexisme et à d’autres formes encore (homophobie, xénophobie, glotophobie, intégrisme religieux, etc) qui ne viennent pas que d’en-haut puisqu’elles sont partout, trans-classe sociale, inter-classiste disait-on jadis. Rappel nécessaire ici car on ne saurait les oublier. Les violences sexuelles et sexistes - on dit VSS dans les stages - perdurent aussi gravement que les violences racistes systémiques contre - par exemple - les migrant-es venant du Sud global et restant survivre ici sous des tentes. C'est chaque jour, tous les jours !
Mais notre propos ici est d’évoquer la violence sociale comme classisme fort, puissant, reconduit, lié au néolibéralisme, à la finance mondiale.
- La violence sociale de la classe d’en-haut
Elle a un contenu économique social et politique, plus un volet policier et judiciaire, mais ici c'est l'économico-politique qui est désigné.
Il s’agit d’une forme de violence souvent non dite explicitement et très liée au capitalisme dominant . Le classisme est une violence sociale de classe qui n’est pas réductible à la pauvrophobie ou au mépris de classe, ou à la discrimination de classe (trois formes réelles). Le terme classisme a donc bien deux sens : un sens large de politique de classe - comme l’austérité par exemple - et un sens restreint comme mépris et discrimination.
Une politique est de classe lorsqu’elle frappe exclusivement ou surtout (on trouve des subtilités qui masque le caractère de classe) le peuple-classe et qu’elle épargne la ou les classes sociales dominantes liées au capitalisme national ou mondial.Notons que le RN (pole identitaire national) et le Macronisme (pole mondialiste financier) sont ensemble d'accords sur ces politiques pro-classes dominantes . Les divergences sont ailleurs.
II
RIPOSTES DU PEUPLE
- La radicalité multiforme à gauche s’explique de deux façons :
Toute radicalité - terme imprécis - n'est pas violence physique ou casse de vitrines. Mais il peut s'agir de séquestration d'un patron par exemple.
Cause principale : Elle est la riposte à la violence sociale d’en-haut, celle très classiste qui vient de la classe sociale dominante capitaliste portant sur l’ensemble du peuple-classe, pas que les minorités les plus fragiles lesquelles sont les plus victimes. Mais pour autant le salariat intermédiaire n’est pas épargné.
Cause secondaire : Elle s'explique aussi - en toute vérité - par la couardise et la trahison ou, pour dire les choses autrement, à la faiblesse manifeste sur longue durée, de ce qu’on pourrait appeler « la gauche de droite » et là je pense ici aux Eléphants du PS et de façon générale au social-libéralisme qui s’est détaché au fil des dernières décennies du vieux corpus social-démocrate qui pourtant n’était pas révolutionnaire, même si ses références pouvaient s’appuyer occasionnellement sur Marx, mais un Marx de lutte de classe n’ouvrant pas à autre chose qu’un autre capitalisme plus social avec, par exemple, plus de services publics bien dotés en fonctionnaires en nombre, une sécurité sociale fondée sur la cotisation sociale bien défendue tout comme un bon code du travail avec une nouvelle RTT 32 heures par semaine et sans perte de salaire !
- Expliquer implique d'aller sous l'apparence des choses
Il s'agit de montrer ce qui est caché mais ce n'est pas pour autant justifier la violence réactionnelle ou préméditée. La riposte selon moi doit être syndicale (de classe et de masse), associative et démocratique par mobilisation populaire. Elle consiste bien en une mobilisation continue contre toutes les violences, y compris celles des oligarchies financières et des classes dominantes privées ou publiques qui, sous divers prétextes, s'attaquent aux classes subalternes des 99% pour mieux protéger les très riches.
Christian Delarue
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