• Le petit prof persécuteur - PPP - cogne encore.


    Le "petit prof persécuteur" (PPP) ne passe pas un mois sans s'en prendre à tel ou tel article du site. Il pourrait faire autrement. Il pourrait prendre contact directement, agir plus respectueusement. Que non !

    Il préfère critiquer directement sur le web, du haut de sa compétence (supposée, parfois avérée) se faire le correcteur de textes de l'animateur du site et jouer ainsi au PPP (petit prof persécuteur).
    Sous couvert d'une bonne remarque il en donne des douteuses et surtout procède au rabaissement d'autrui. Il adore !
    Ces haines qui alimentent le dénigrement d'autrui sous couvert de pseudonyme sont faciles. Et méprisables.
    Elles ont surtout des raisons précises que je ne vais pas ici dévoiler. La vie fractionnelle a ses joies mais aussi ses déboires. Il y a quand même l'accaparement - terme euphémisé - du blog du MRAP DifférencesLarevue. Ce n'est pas rien. 
    Christian Delarue
    Ex membre du BE et du CA du MRAP

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  • Le MRAP réitère sa demande d'interdiction de la LDJ


    Le MRAP exprime son indignation face aux nouvelles exactions commises à l'encontre de militants à Paris les 28 juin et 5 juillet derniers, par la Ligue de Défense juive (LDJ), groupe d'extrême droite, laissé libre d'agir en France alors qu'il est interdit en Israël et aux États-Unis.

    Le MRAP dénonce la mansuétude dont bénéficie depuis trop longtemps la Ligue de Défense juive.

    La violence de ce groupe, l'étalage sur internet de ses entraînements para-militaires, les vidéos relatant les actions de commando du groupe, ses provocations jusque dans l'enceinte des tribunaux, ne peuvent passer inaperçus du ministère, ils entraîneraient la dissolution de n'importe quelle autre formation fascisante.

    C'est ce qui avait été fait récemment à l'encontre d'un autre groupe totalitaire similaire aux méthodes violentes : Forsane Alizza.

    Le MRAP réitère sa demande faite au gouvernement français le 8 avril 2002 de dissoudre la dite "Ligue de Défense Juive", à la suite de quatre agressions du siège national du MRAP, de ceux de la Fondation Danielle Mitterrand, de la CIMADE et du CICP, de violences à Orly contre des militants pacifistes et de menaces de mort contre le président de l'Union des Juifs Français pour la Paix.

    Cette demande est restée sans réponse jusqu'à ce jour, malgré la multiplication d'agressions à l'encontre d'organisations ou de personnes qui œuvrent pour le respect du droit des Palestiniens ( attaque de lycéens devant le lycée Janson de Sailly, contre des militants du Centre International de Culture Populaire à Paris, contre la mairie de Vitry, qui s'apprêtait à faire citoyen d'honneur Marwan Barghouti …).

    Le MRAP demande que le nouveau gouvernement prenne des mesures fermes à ce sujet, contrairement à ses prédécesseurs.


    Paris, le 10 juillet 2012.


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  • Mouloud AOUNIT, Christian DELARUE et le MRAP

     

    Rectificatif en aposition. Par principe, je ne réponds pas à ceux qui agressent et discréditent derrière un pseudonyme. Notamment à mon PPP "petit prof persécuteur". Qu’écrit-il ? "tout heureux d’être sur la photo" dit-il ? alors que Mouloud n’est "pas vraiment à son avantage". Article sans critique de Causeur.

    Je suis critique de Causeur. Je le dis d’ailleurs très brièvement dans : "Causeur aimait le MRAP de Mouloud AOUNIT". Je n’ai certes pas fait un long exposé comme celui qui m’agresse. J’approuve d’ailleurs son exposé (bien que dans le rapport cité du MRAP il faille distinguer le corps du sujet et les liens en extension). Mais je n’approuve pas la malveillance finale dont il est d’ailleurs coutumier.

     

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    Mouloud AOUNIT (à gauche) et Christian DELARUE (à droite en rouge)

    Sur cette photo, c'est l'inverse de ce qui est dit qu'il faut savoir.. Autrement dit, c'est Mouloud AOUNIT qui est plutôt à son avantage car la photo est prise avant la maladie qui le frappe depuis plusieurs mois. Par contre c'est Christian DELARUE qui ne l'est pas, pour des raisons de circonstances : manif parisienne difficile (pluie agressions ).

    En outre, bien que j'ai pu critiquer certaines des positions de Mouloud AOUNIT- je suis plus critique des religions que lui -, j'ai néanmoins de l'amitié et et du respect pour lui. Je ne cherche pas à blesser ou rabaisser les personnes que je critique. Je défends la dignité humaine qu'il faut élever face aux fétiches religieux ou autres.

    Par ailleurs, je n’ai pas, moi, participé à la captation du blog du MRAP Différence-larevue dont j’ai été co-animateur écarté.

    Christian DELARUE

    Ex membre du BE et du CA du MRAP


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  • Causeur aimait le MRAP de Mouloud AOUNIT

    et Marc Cohen a-t-il cotisé ?

    Bon il faut savoir lire un journal satirique ! Quand je lis "Tout anti-antiraciste est un chien, voire pire… " je le prend bien. Mais ce n’est pas évident !

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    Mouloud AOUNIT et Christian DELARUE en rouge du MRAP (Photo Causeur )

    Si on laisse tomber tout le blabla sur les gros mots des staliniens et autres communistes dégénérés on voit une belle et grande publicité pour le MRAP.

    Bon le titre, j’ai un peu sursauté : "Zemmour la hyène, le MRAP a la haine"

    Christian DELARUE

    http://www.causeur.fr/zemmour-la-hyene-le-mrap-a-la-haine,10971


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  • Le racisme anti-blanc entre instrumentalisation et réalité.


    Le racisme anti-blanc est massivement la riposte de l'extrême-droite qui non seulement refusent de connaitre les formes dominantes du racisme mais sont de plus les premiers à les pratiquer. L'extrême-droite pratique quasiment toutes les formes de racisme que la législation française condamne. En ce sens, le racisme anti-blanc constitue une instrumentalisation grossière d'une notion qui peut pourtant s’avérer juste dans certains cas.

    1) Première distinction: ici et là-bas.

    AILLEURS : Ces cas de racisme anti-blanc sont relativement courants dans les sociétés anciennement colonisées ou la haine de ce qui évoque les colons continue à être rapportée à la couleur de peau blanche plutôt qu'à un rejet des mécanismes de domination. Les classes dominantes locales instrumentalise aussi ce racisme anti-blanc à leur profit. Ce qui explique sans doute que ce type de discours perdure.

    ICI : Ces cas de racisme anti-blanc sont beaucoup plus rares en France. C'est Tarik Yildiz, un sociologue, qui les a mis à jour dans son livre : Racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité(1) . Avant lui, ces cas étaient, me semble-t-il largement méconnus. Pour autant ces cas restent extrêmement rares. Il s'agit souvent d'une injure qui frappe des 'Français de souche' de la part de Français qui se perçoivent toujours - du fait des exclusions - comme "issus de l'immigration" .

    2) Deuxième distinction : le verbe et le réel.

    Un article paru dans l'Express en mars 2011 fait état des thèses de T Yildiz (2) . Mais cet article ne permet guère, à mon sens, de comprendre l'existence et la portée d'un racisme anti-blanc au-delà de l' injure contre le "français de souche".

    Certes ces injures existent. Elles sont violentes et manifestent une intolérance coupable mais, sans vouloir diminuer leur gravité, surtout lorsqu'elles sont suivies d'agressions physiques, on ne voit guère dans le contexte social les discriminations réelles qui frappent les dit "français de souche". Par contre on voit fort bien les discriminations qui ne cessent de frapper durement les familles de ceux qui peuvent pratiquer occasionnellement l'injure anti-blanc. Il y a là de fortes circonstances atténuantes pour éviter de trop durent peines. Surtout, il importe
    1 de diffuser des thèses plus justes qui appellent les victimes du racisme systémique (qui lui peut permettre aux dominants de faire l'économie de l'injure du fait de sa réalisation factuelle et pratique par la discrimination) à ne pas se tromper de colère ainsi que le dit le MRAP .
    2 de combattre surtout les discriminations racistes qui perdurent dans l'emploi, le logement, l'accès aux salles de dance, etc...

    Je m'en tiens là sur ce sujet. Car, par rapport aux craintes des IDR (3), le MRAP sait très bien que la notion de racisme anti-blanc est délicate à employer . Mais la notion de "blanc" ne l'est pas moins. Elle incite gravement à la racialisation de la société. D'ou la réponse du MRAP.

    Une réponse du MRAP : « Non à la racialisation de la société ! »

    http://www.rue89.com/2012/06/18/une-reponse-du-mrap-non-la-racialisation-de-la-societe-233133



    Christian DELARUE

    1) Le racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité, Tarik Yildiz, Les Editions du Puits du Roulle, 58 p., 8 euros.

    2) Comment parler du racisme anti-blanc? - L'EXPRESS
    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/comment-parler-du-racisme-anti-blanc_970808.html

    3) "Racisme anti-blanc" : un concept dangereux. Le MRAP ne doit pas céder.
    Les Indigènes de la république » samedi 16 juin 2012
    http://www.indigenes-republique.fr/article.php3?id_article=1680


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